Accord de coopération avec Kidneeds et l’hôpital de l’Hôtel-Dieu de France, au chevet des enfants atteints de problèmes rénaux

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La vice-présidente de la Fondation al-Walid ben Talal, l’ancienne ministre Leila Solh Hamadé, a signé un accord de coopération avec l’association Kidneeds pour les enfants atteints de problèmes rénaux et l’hôpital de l’Hôtel-Dieu de France, affilié à l’Université Saint-Joseph de Beyrouth. Étaient présents lors de la signature le recteur de l’USJ et président du conseil d’administration de l’hôpital, le père Salim Daccache, ainsi que la présidente de l’association Pauline Abou Jaoudé et le directeur de l’hôpital, Nasib Nasr. Ont également assisté à l’événement l’ancienne ministre de la Justice Marie-Claude Najm, le président de la Ligue maronite Khalil Karam et les chefs de service de l’hôpital. M. Nasr a souhaité la bienvenue à Mme Solh, soulignant l’importance de son héritage politique et de son travail caritatif.

« Nous avons tous lu dans nos manuels l’histoire de Riad Solh et de la forteresse de Rachaya », a-t-il affirmé, en référence au père de Mme Solh, figure-clé de l’indépendance, détenu par les Français dans cette forteresse aux côtés d’autres politiciens indépendantistes. Et d’abonder : « Nous continuons de suivre dans les journaux les différentes actions de la Fondation al-Walid ben Talal, qui fête son 20e anniversaire. » Il a rappelé que tant le pape Benoît XVI que le cheikh d’al-Azhar Mohammad Sayed Tantaoui ont salué le travail de cette organisation.

« Tout le monde sait que la Fondation al-Walid ben Talal a été l’une des premières à venir en aide aux enfants atteints de problèmes rénaux au Liban », a ajouté Pauline Abou Jaoudé en remerciant Leila Solh Hamadé pour sa confiance et son soutien. Cette dernière a alors pris la parole, rappelant qu’elle a déjà travaillé à plusieurs reprises aux côtés de l’USJ et l’Hôtel-Dieu de France.

« Notre coopération est régie par notre engagement mutuel pour la bonté humaine, car nous n’avons pas d’intérêts communs, mais un seul message, celui de la miséricorde », a-t-elle affirmé. Elle a également salué l’effort des médecins, qui « n’abandonnent jamais, tout comme le Liban qui refuse de mourir ».

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